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Après “Ça va ça va”, après “Ce qu’il reste” - deux extraits chaleureusement accueillis par le public québécois – Lou-Adriane Cassidy renchérit avec son premier album “C’est la fin du monde à tous les jours” (Prix Rideau Québec 2019). Si ses passages respectifs aux finales du Festival de la Chanson de Granby et des Francouvertes ont laissé son nom glisser d’une oreille à une autre, elle tisse depuis sa trajectoire avec assurance et parcourt le globe jusqu’à nous !
On a pu voir Lou-Adriane assumer pleinement la charge pesante de plusieurs grandes scènes, la voir ouvrir brillamment des spectacles d’artistes internationaux, on peut désormais l’écouter en tant qu’auteure, en tant que compositrice, en tant qu’interprète – ce qui continue d’accroître l’écart fascinant entre son jeune âge et la maturité qui, déjà, enserre fermement et sa musique, et sa carrière. À cheval entre la chanson et la lignée folk alternative actuelle, Lou-Adriane Cassidy se démarque par sa sobriété et sa justesse d’interprétation. Sa conscience aiguisée du texte et la richesse de son timbre de voix la distinguent des autres de sa génération, tout comme sa démarche, axée autant sur la composition et l’écriture que sur les collaborations. Imbriquant la pop des 70’s à la langueur envoûtante des chansons françaises, Lou-Adriane fait, avec C’est la fin du monde à tous les jours, la promesse de quelque chose de grand. La promesse de sonder le fond de nos ventres, sans filtre, aucun.
Tout droit venu de Montréal, le Benoit Paradis Trio est un concept dans lequel deux musiciens de grand talent accompagnent un personnage crooner joyeusement déprimé qui jongle avec la trompette, le trombone, la guitare et les percussions. Situé entre le jazz et la chanson française, celui qu’on qualifie de doux-névrosé compose des textes intelligents à saveur existentialiste, d’une grande poésie, souvent satiriques. Il conte dans ses chansons, ses blues quotidiens de tromboniste-poète un peu fou, nous rappelant ainsi au bon souvenir d’un certain Boris Vian.
Durée : 2h00
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