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Le nouveau spectacle de François Morel avec Lucrèce Sassella en première partie, découverte dans Instants critiques.
La chanteuse Lucrèce Sassella présente 12 chansons qui dessinent le portrait d’une jeune femme aux prises avec quelques grandes questions existentielles : L’amour éternel dure-t-il toujours ? Comment choisir un galet parmi trois millions ?
Un 1er album qui impose d’emblée Lucrèce Sassella comme une artiste à forte personnalité.
Elle est pas belle la vie ? Si.
François Morel et Antoine Sahler se lancent en chantant dans l’aventure de miniatures humaines, avec tambours et trompettes. Juliette met en scène ce cabaret tendre, projet humaniste de réconciliation durable avec le fait d’exister.
Autour de lui, en arc de cercle, les musiciens et toute une batterie d’instruments. Un vibraphone, des percussions, un violoncelle, une guitare, un piano et une trompette encerclent François Morel. Debout, au micro, il sourit, chante, se lance dans l’aventure de miniatures humaines ; douceurs de solitudes qui se réparent, vagues à l’âme, exaltations et glissades. Avec valses musettes et ritournelles, il réenchante le quotidien, peint des tableaux joyeux d’une existence faite de virages, cabossages aux tournants. Chanson du manifestant, hommage au cinéma de papa, clin d’œil aux aînés admirés, Aznavour ou Brassens.
Après Collection particulière, dirigé par Jean-Michel Ribes, après son récital Le soir, des lions…, sous la houlette de Juliette, Morel donnait la saison passée La fin du monde est pour dimanche au Rond-Point. À nouveau, Juliette signe la mise en scène, et Antoine Sahler les compositions. Même équipe, même esprit, l’état du monde en plus. Et le besoin d’en rire. Comédien, chanteur, poète, Morel réunit des vignettes vitales, il choisit la vie, objet rare et provisoire, comme sujet de La Vie (titre provisoire) ; ballade poivre et sel dans des jours secoués par les événements récents. Besoin d’une réconciliation rapide et durable avec le fait d’exister. Pierre Notte